23 Juillet 2005 marcolino
Au matin de la mort,
ne projeter aucune ombre,
s'asseoir et méditer l'esprit vide,
clair comme un joyau,
jusqu'à extinction.
Passerelle vers la sérénité zen à saisir au coeur de l'instant présent.Ici et maintenant, dans l'impermanence,avec compassion, se rappeler l'interdépendance de nos vies.